Vecteur Psynéma…


Responsables Karim Bordeau 
et Maria-Luisa Alkorta

Le vecteur Psynéma comprend pour l’instant quatre membres : Maria-Luisa Alkorta, Laure De Bortoli , Leila Touati , Karim Bordeau . 

Nous nous réunissons une à deux fois par mois pendant deux heures minimum. Nous avons le privilège d’avoir une réalisatrice dans le Vecteur.

Nous travaillons en partenariat avec Le patronage Laïque Jules Vallès. Nous organisons  dorénavant quatre après-midis où nous projetons intégralement un film choisi par le groupe en lien avec la thématique annuelle du patronage Laïque Jules Vallès ; chaque projection est suivie d’un débat animé par les membres du vecteur et un membre de l’École de la Cause freudienne. 

Pour l’année 2020-2021, le thème choisi est : « L’exil, les frontières et l’émigration ».

Les quatre films choisis pour cette année sont :

  • Les contes de la lune vague (1953), de Kenji Mizoguchi, le 3 octobre 2020 ;
  • Tristana (1970), de Luis Buñuel, le 12 décembre 2020 ;
  • Sorcerer (1977), de William Friedkin, le 6 février 2021 ;
  • Au-delà  de l’espoir ( 2017), de Aki Kaurismäki, le 10 avril 2021.

Chaque séance de travail consiste en un débat autour du cinéma et du film choisi, et d’une lecture de textes de Lacan et de Freud en lien avec le film ; c’est Lacan éclairant le cinéma et réciproquement.

Pour participer au groupe contacter :

            Par mail à Maria-Luisa Alkorta, ici>>, ou à Karim Bordeau, ici>> ; ou au 06.07.23.39.29.

 

Nos Travaux…

Psynema décembre

Psynema décembre

La séance du mois de novembre 2016 du Vecteur Psynéma a été amplement consacrée aux réflexions autour de la soirée de préparation aux dernières journées de l’École de la Cause Freudienne sur le thème de l’objet regard. Cette soirée, qui a eu lieu le 18 octobre au cinéma Escurial, proposait un travail intéressant autour du film Night Call (2014), réalisé par Dan Gilroy. Le Vecteur Psynéma avait invité le psychiatre et psychanalyste Pierre Sidon et a été riche en échanges malgré le nombre de participants. […] Vecteur Psynema

l’inconscient pulsionnel

l’inconscient pulsionnel

[…] un sujet arrive à construire, parfois à ses dépens, sa propre place dans le monde ou plus précisément dans ce que Lacan nomme poétiquement, quant à la métonymie comme déplacement de jouissance, « cette cohue de personnes déplacées » : « Car à la façon dont vont les choses, on ne le sait que trop, quand le langage s’en mêle, les pulsions doivent plutôt foisonner, et la question (si il y avait quelqu’un pour la poser) serait plutôt de savoir comment le sujet y trouvera une place quelconque. La réponse heureusement vient d’abord, dans le trou qu’il s’y fait » […] Karim Bordeau

Psynéma

Psynéma

La rentrée du Vecteur Psynéma, dans ce début du mois de septembre 2016, s’ordonne activement autour de deux points : l’organisation de soirées autour des Aliens dans le cinéma contemporain, visant à cerner la problématique du corps parlant d’une manière surprenante et inattendue, ainsi que la préparation d’une soirée sur le thème des prochaines Journées de l’École de la Cause Freudienne, l’objet regard.
Notre prochaine réunion aura lieu le 18 septembre à 14H.

Psynéma

Psynéma

Compte rendu de la séance du 25 Juin 2016 Le Vecteur Psynéma a « consacré » la séance du mois de juin 2016 au visionnage critique de quelques extraits des deux premiers films-épisodes de la saga Alien. Le terme « consacré » n’est pas excessif : cette saga a marqué à...

Psynéma

Psynéma

Rdv samedi 25 juin à 17 H. Nous parlerons de l’Alien de Ridley Scott, sorti en 1979. Un événement dans l’histoire du cinéma.

Notre séance du 14 mai a été consacrée à une lecture d’Under the Skin, film de Jonathan Glazer sorti en 2013. Nous avons resserré notre propos autour de l’avoir du corps et de la façon dont celui-ci est représenté comme Alien dans le cinéma. Ce que montrent en effet certains films centrés sur cette problématique c’est qu’un corps, en tant que consistance mentale, n’est pas donné d’emblée, qu’il y a une sorte d’antériorité logique où le corps se défait comme sac vide. Comment chacun fait-il alors avec son corps pour qu’il ne lui apparaisse pas trop comme alien ? (lire la suite) …

Psynéma

Psynéma

«Cela ne va pas de soi, pour le dire qu’un corps soit vivant. De sorte que ce qui atteste le mieux qu’il soit vivant, c’est précisément ce «mens» que j’ai introduit par la voie, le cheminement de la débilité mentale. Il n’est pas donné à tous les corps en tant qu’ils fonctionnent de suggérer la dimension de l’imbécillité. (…) Sans le langage pas le moindre soupçon ne pourrait nous venir de cette imbécillité qui est aussi ce par quoi le support qu’est le corps nous témoigne (…) d’être vivant.»

Le Vecteur fait son Psynéma !

Le Vecteur fait son Psynéma !

Petites critiques de Psynéma : The Revenant, d’Alejandro G. Iñarritu & Midnight Special de Jeff Nichols.

Psynéma

Psynéma

Pourquoi Lacan en vient-il à représenter le corps, sa consistance mentale, à l’aide du tore ? Prochaine rencontre
samedi 9 avril 2016, à 17h. Au 17 rue Baudoin, Paris 13e.

Psynéma

Psynéma

Prochain rdv, le 19 mars 2016, à 17H
Lecture du Séminaire L’identification où Lacan introduit pour la première fois dans son enseignement la topologie du tore comme consistance.

Psynéma :: Un certain traitement actuel du corps

Psynéma :: Un certain traitement actuel du corps

Thématique 2016 : Le corps parlant, ses aspects insolites et significatifs à l’écran.
La prochaine réunion aura lieu le samedi 13 février à 18H, au 17 rue Baudoin, dans le 13ème arrondissement.

Renseignements et inscriptions

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