Epars désassortis : L’Yadl’Un à l’ère du racisme et de la ségrégation

Epars désassortis : L’Yadl’Un à l’ère du racisme et de la ségrégation

Le mercredi 22 septembre à 21h00
Visioconférence Zoom. Pour s’inscrire, cliquer sur ce lien>>

Après inscription, vous recevrez un mail de confirmation contenant les instructions pour rejoindre le webinaire.

3ème soirée des « Épars désassortis de la globalisation » qui aura lieu le 22 septembre à 21h00 par Zoom. Cette soirée sera organisée cette fois-ci par le Vecteur Seminario Latino de L’Envers de Paris sous le titre : « L’Yadl’Un à l’ère du racisme et de la ségrégation ». Nous sommes à l’ère du multiple des épars désassortis sous le principe du Yadl’Un dans un monde déboussolé qui se voit passer du père… au pire. Marie-Hélène Brousse nous fera l’honneur et le grand plaisir d’être l’extime de cette soirée qui ouvrira le champ de travail pour la période 2021-2022. Nous compterons sur les interventions d’Ariel Altman, Monica Guerra, Flavia Hofstetter, Pablo Llanque et Nayahra Reis. La conversation sera animée par Patrick Almeida, responsable de ce vecteur.

S’inscrire en cliquant sur ce lien>> 

ÉDITO DE L’ÉTÉ 2021

ÉDITO DE L’ÉTÉ 2021

J’ai embrassé l’aube d’été.

Rien ne bougeait encore au front des palais.

Chères et chers membres et amis de L’Envers de Paris,

Le repos estival approche. Août arrive plein de quiétude. Le soleil d’été, à midi, cèlera son rayon vert.

Le début de l’année fût, sinon rude, complexe avec la pandémie. Nous aurons traversé ce temps entre confinements et déconfinements, avec ou sans couvre-feu. Une année qui restera dans nos mémoires par son caractère exceptionnel.

Au sein de notre association, l’activité n’a pas cessé de s’accélérer petit-à-petit et nous avons appris à nous familiariser avec Zoom, voyant se multiplier ces derniers mois les réunions, les rencontres, les conversations, les soirées et un bouillonnement d’initiatives qui ont pu être mises en œuvre.

L’Envers de Paris a le plaisir de vous inviter à sa 3ème soirée des « Épars désassortis de la globalisation » qui aura lieu le 22 septembre à 21h00 par Zoom. Cette soirée sera organisée cette fois-ci par le Vecteur Seminario Latino de L’Envers de Paris sous le titre : « L’Yadl’Un à l’ère du racisme et de la ségrégation ». Nous sommes à l’ère du multiple des épars désassortis sous le principe du Yadl’Un dans un monde déboussolé qui se voit passer du père… au pire. Marie-Hélène Brousse nous fera l’honneur et le grand plaisir d’être l’extime de cette soirée qui ouvrira le champ de travail pour la période 2021-2022. Nous compterons sur les interventions d’Ariel Altman, Monica Guerra, Flavia Hofstetter, Pablo Llanque et Nayahra Reis. La conversation sera animée par Patrick Almeida, responsable de ce vecteur. Vous pouvez d’ores-et-déjà vous inscrire en cliquant sur ce lien>>

Vous découvrirez la nouvelle affiche correspondant à cette soirée que vous pouvez faire circuler et diffuser dans vos institutions, dans vos salles d’attentes et parmi vos contacts afin d’être nombreux à assister à cette conversation.

Le collectif Théâtre et psychanalyse de L’Enver de Paris vous donne rendez-vous pour une rencontre à la rentrée au Théâtre de l’Odéon le dimanche 26 septembre à 15h00 autour de l’œuvre de Luigi Pirandello, Comme tu me veux, en présence de Stéphane Braunschweig, le metteur en scène. Nous aurons le plaisir de recevoir comme invitée Cinzia Crozali, psychanalyste membre de l’ECF. La rencontre sera animée par Hélène de la Bouillerie qui sera la responsable de ce collectif en cette rentrée, à qui nous souhaitons une belle réussite pour la direction de ce groupe qui travaille à la transmission de la psychanalyse à Paris, dans cette interface particulière qu’est la Psychanalyse et le Théâtre. Je tiens à saluer le travail réalisé par Philippe Benichou qui a su mettre L’Envers de Paris et la psychanalyse au centre de la vie culturelle parisienne.

Vous connaissez la publication de L’Envers de Paris, Horizon ? Nous avons vu circuler une excellente vidéo de présentation de cette publication réalisée par les nouveaux membres (2020) de notre association, Marcela Fernandez-Zosi, Coralie Haslé, Flavia Hofsteter qui, avec Pierre Sidon, dans cet élan cinémato-analytique ont réalisé une formidable composition que vous pouvez suivre en cliquant ici>>

Et si vous n’avez toujours pas dans votre bibliothèque ce dernier numéro, vous pouvez vous le commander ici>>

La préparation de PIPOL 10 a été intense. Le thème : Vouloir un enfant ?, Désir de famille et clinique des filiations a poussé au travail. À travers de nouvelles biotechnologies, des nouvelles demandes apparaissent, de nouveaux désirs avec leur nécessaire questionnement éthique. L’Envers de Paris a soutenu la production d’une série de vidéos, conçue et réalisée par Nouria Gründler et François Ansermet, responsables du Séminaire Les enfants de la science de L’Envers de Paris, réalisant une suite d’entretiens d’un immense intérêt à la fois clinique, scientifique, philosophique et bien entendu psychanalytique. Vous pouvez regarder les remarquables interviews de David Cohen (professeur du service de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent), Thierry Hoquet (professeur de philosophie), Virginie Barraud-Lang (médecin biologiste), René Frydman (professeur des universités), Catherine Patrat (Professeur, service de biologie de la reproduction), et Ariane Giacobino (professeur de génétique médicale). Vous les trouverez toutes en vidéos sur en cliquant ici>>

Pour la rentrée de septembre, plusieurs projets sont déjà en cours. Voici les événements déjà prévus au programme dans nos groupes et vecteurs :

Les 51e Journées de l’ECF auront lieu les 20 et 21 novembre prochain sous le titre La Norme Mâle. L’appel aux contributions pour les simultanées du samedi est prolongé jusqu’au 18 juillet minuit. Vous pouvez proposer un cas clinique de votre pratique et l’adresser par mail>> ; si vous souhaitez plus d’information cliquez ici>>

Le vecteur Psynéma de L’Envers de Paris prépare une projection-rencontre qui s’inscrira dans la préparation des J-51, en s’armant du célèbre film de Kubrick : Full Metal Jacket sorti en 1987. Notez dans vos agendas que cette rencontre aura lieu en présentiel, le 16 octobre 2021 au Patronage Laïque Jules Vallès à 14h00. Nous aurons comme invité François Leguil, psychanalyste membre de l’ECF, dans une conversation animée par les membres du vecteur : Maria Luisa Alkorta, Karim Bordeau, Laure de Bortoli, Solenne Philippon et Leila Touati. Ce vecteur programme sa prochaine réunion de travail le 1er septembre 2021 à 20h00 où sera poursuivi le déchiffrage de Full Metal Jacket ainsi que la lecture des leçons des 8 et 15 janvier 1974 du séminaire XXI, « Les non-dupes errent ». Les réunions sont ouvertes. Pour tout renseignement sur le vecteur Psynema contacter Maria-Luisa Alkorta par mail>> ou Karim Bordeau par mail>>

Le vecteur Le corps, pas sans la psychanalyse de L’Envers de Paris a accueilli deux nouveaux participants. Ils travaillent sur le lien, chez les corps-parlants, là où les sciences et les techniques contemporaines, dans un moment de coupure entre corps et parlant, tirent de plus en plus le corps du côté du réel biologique au détriment du réel de la parole. Ils abordent le projet de la constitution d’une vidéo sur leur travail dans le vecteur, pour la rentrée de septembre. Prochaine réunion : le jeudi 9 septembre à 20h30. Contact : Geneviève Mordant par mail>>

Dès septembre 2021, le Vecteur Psychanalyse et littérature de L’Envers de Paris engagera son étude sur l’écriture de Raymond Queneau en s’orientant de l’enseignement de Jacques Lacan qui, de 1955 à 1973, du Séminaire II au Séminaire XX, ne cesse de se référer à cet auteur oulipien. « C’est un poète qui introduit dans sa prose comme aussi bien dans des formes plus poétiques, la dimension d’un esprit spécialement danseur qui habite son œuvre, et qu’il fait jouer même quand il parle à l’occasion de mathématiques, car il est aussi un mathématicien. J’ai nommé ici Raymond Queneau. »[i] Contact : Marie-Christine Baillehache par mail>>

Je vous souhaite à toutes et à tous un excellent été !

Marga Auré

[i] Lacan J., Le Séminaire, livre V, Les formations de l’inconscient, Paris, Seuil, 1998, p. 107-108.

La réduction subjective n’est pas pathétique

La réduction subjective n’est pas pathétique

La réduction subjective n’est pas pathétique (Une lecture du premier chapitre de L’Os d’une cure de Jacques-Alain Miller)

Par Noa Farchi

Dans le chemin d’une analyse, le sujet rencontre un obstacle qui s’impose à lui comme limite et qui donne substance au chemin en tant que tel. J.-A. Miller élève cette rencontre à la dignité de l’os d’une cure. L’analyse commence avec ce qui coule, ce qui roule, ce qui se dit et qui se parle. Nous repérons ce qui se répète, ce qui converge dans le champ de ce qu’il est possible d’évoquer, d’articuler et dont on peut se rendre compte. Ce travail par la parole en analyse qui dénude le sujet à ses éléments osseux, J.-A. Miller le nomme un « déshabillage de l’être [1] ».

Arrêtons-nous sur un passage de la page 27 qui traite de cette opération, délicate et risquée, de déshabillage de l’être. Sur quoi pourra-t-elle s’appuyer ? « Disons qu’elle porte sur le sujet. La réduction subjective se place à un niveau au-delà de la rectification subjective. » Au-delà de la rectification subjective… cela renvoie au terme employé par Lacan dans son texte sur la direction de la cure où la relation du sujet avec le réel est rectifiée lorsqu’il parvient à articuler quelque chose de sa position par rapport à ce qui lui tombe dessus. La réduction subjective devrait être la suite du travail autour de la question « en quoi suis-je impliqué dans l’affaire ? »

Soulignons ce terme : la réduction subjective. S’agit-il d’un sujet réduit, amoindri, pathétique en quelque sorte ? À quoi est-il réduit ? Que reste-t-il de ce sujet, lui qui a commencé son analyse par la prolifération de la parole comme une « mauvaise herbe [2] », et par l’enchantement de l’interprétation de l’inconscient ? Concernant celle-ci, dans une analyse, il se trouve justement que l’inconscient n’est pas assujetti à l’interprétation, mais bien plutôt qu’il est le vrai maître de l’interprétation. Cette trouvaille nous conduit à envisager le sujet en analyse, non pas en tant qu’être parlant, mais comme un poème, et comme tel, issu d’une écriture.

Ceci étant, poursuivons la lecture de ce paragraphe : « Une psychanalyse accomplit sur le poème subjectif une sorte d’analyse textuelle qui a pour effet de soustraire l’élément pathétique afin de dégager l’élément logique. » Le chemin d’une analyse est pavé par une lecture attentive qui enlève du sujet l’élément pathétique et focalise l’analyse sur l’élément logique. Si l’on revient à la notion de réduction subjective, nous pouvons dire que le dégagement de l’élément logique ne veut pas dire que le sujet est réduit à la logique, mais que sa rencontre avec l’os d’une cure est abordée par l’élément logique et non pas par le pathos.

[1]. Miller J.-A., L’Os d’une cure, Paris, Navarin, 2019, p. 19.

[2]. Ibid., p. 21.

 

 

De la répétition à la réduction : l’écriture d’un chemin particulier

De la répétition à la réduction : l’écriture d’un chemin particulier

De la répétition à la réduction : l’écriture d’un chemin particulier

Par Martine Bottin-Daneluzzi

Dans l’écriture même de L’Os d’une cure [1] par Jacques-Alain Miller, j’ai été saisie par la répétition, la reproduction de mouvements qui opèrent dans une cure, de façon singulière pour chacun qui s’y engage.

Le titre, L’Os d’une cure (et non l’os de la cure) indique d’emblée que La cure analytique n’existe pas, à l’opposé de tout modèle standardisé, protocole ou programme valable pour tous.

À partir du poème brésilien No meio do caminho, « Au milieu du chemin », J.-A. Miller se met au travail et n’impose aucun savoir. Comme dans une cure, son écriture est marquée par des répétitions et s’y observe une élaboration suivant trois temps logiques [2].

Il y a d’abord l’instant de voir « la pierre au milieu du chemin » dans le poème, puis le temps de comprendre « son secret sévère, sublime et mystérieux », à savoir que « le chemin crée la pierre qui se rencontre en son milieu ». Par une allégorie, par des répétitions qui soutiennent une dynamique de découvertes, la pierre y devient « l’os, l’obstacle » rencontré par chaque analysant sur le trajet de sa cure : « c’est parce qu’il y a l’obstacle qu’il y a répétition et c’est parce qu’il y a répétition que se perçoit l’obstacle ». Avançant sur le chemin de sa parole, chaque analysant y rencontre une pierre, un os qui y existait déjà, et qui devient obstacle contre lequel il bute, « l’obligeant à une répétition inconsolable » pour poursuivre. Comme dans une cure, les répétitions dans le texte ne sont pas de simples redites, elles participent d’« un mouvement en spirale », source d’une avancée pour le lecteur, tel un analysant dans son temps de comprendre. Le chemin et la pierre sont tous deux la terre qui parle, parce qu’en son milieu, il y a un être parlant. Par sa prise de parole dans le transfert se produisent des émergences de l’inconscient, le sujet disparaissant derrière les signifiants.

La fin de la première partie de l’ouvrage nous révèle que cet os n’est rien d’autre que l’objet a, source des mouvements répétitifs. J.-A. Miller en vient ainsi à nous présenter le concept de réduction dans la cure, opération cruciale dans l’avancée d’une analyse. Il en isole trois mécanismes, qui participent d’un déshabillage de l’être au cours d’une cure et dont le résultat, au terme de celle-ci, est l’os.

Ce choix d’écriture invite le lecteur au travail parcouru pas à pas par J.-A. Miller. Il témoigne de son souhait de transmission d’un savoir autre, par l’exposé d’un trajet, d’une élaboration qui offre au lecteur de saisir ce qui s’opère sur le chemin de parole, seulement possible dans une cure analytique.

[1] Cf. Miller J.-A., L’Os d’une cure, Paris, Navarin, 2018.

[2] Cf. Lacan J., « Le temps logique et l’assertion de certitude anticipée », Écrits, Paris, Seuil, 1966, p. 213.

Mot-heurt !

Mot-heurt !

Mot-heurt !

Par Olivier Talayrach

« Peindre non la chose, mais l’effet qu’elle produit »

« L’œuvre pure implique la disparition élocutoire du poète, qui cède l’initiative aux mots, par le heurt de leur inégalité mobilisés »

Stéphane Mallarmé

 

On pourrait croire que Mallarmé avait lu François Cheng et son Écriture poétique chinoise. Le titre, Motheurt, peut se lire mother, la mère, de lalangue maternelle transmise par nos proches parents[1]. Il se lit aussi bien comme le heurt des mots, sur le corps, faisant de nous des poèmes, et comme moteur, de nos actions.

Dans L’os d’une cure, page 27, Jacques-Alain Miller écrit : « Comme Lacan l’indique, le sujet est poème plutôt que poète, c’est un être parlé. Une psychanalyse accomplit sur le poème subjectif une sorte d’analyse textuelle qui a pour effet de soustraire l’élément pathétique afin de dégager l’élément logique. »

L’analysant ou futur analysant vient se plaindre du poème qu’il est sans le savoir. Il n’en connaît quasi rien. Il place dans l’autre ce savoir sur lui-même. Il demande le poète. Il peut penser que des choses sont écrites en lui ou sur lui, mais il n’en voit parfois ni la raison, ni la signification. Il va passer un temps à entendre qu’il n’est pas celui qui rédige ou qui dirige sa conduite, mais que celui qui la dirige, c’est le poème dont il suit le texte, déjà rédigé, à la lettre. Conduite qu’il apprend à reconnaître, non plus seulement comme celle qu’il subit, mais qu’il consent à subir. Il y voit sa part de responsabilité dans cette lecture immobilisante du poème qu’il est, en restant là, à répéter, jusqu’à ce qu’il lui soit possible de l’entendre. Cette lecture, il la laissait jusque-là aux autres, ou à l’habitude, son destin.

Il va se mettre au travail pour déchiffrer le poème. Apprendre à lire d’abord, puis décider s’il est d’accord avec ce qu’il lit ou à trouver d’autres voies s’il ne l’est pas, tenter de raturer pour mieux y revenir, entendre autrement cette inscription, repérer qu’écrire, c’est d’abord dire avec un Je qui fait qu’ensuite, c’est écrit, et qu’il n’est pas trop tard. Il va se moduler, cesser de vouloir changer de poème pour consentir enfin à le prendre au sérieux, pour ne plus y croire. Il va devenir poète, faire un effort de poésie.

Il saura, dès lors, quelque chose de cette écriture qui contient sans le dire ce qu’il a de plus précieux comme savoir en devenir. Préciosité qui aboutira hors-beau et hors sens. Il ne voudra plus tout dire ou tout écrire, s’apercevra des nuances entre savoir, savoir-faire, savoir-vivre et savoir y faire, et parfois même, avec Godard[2], que le savoir est ce qui l’empêchait de voir, de préférer l’ignorer. Il attrapera quelque chose de l’impossible à dire, sans plus chercher à conceptualiser ce savoir-là. Un poète au travail qui ne sait pas encore ce qu’il écrit, mais qui désormais assume d’écrire quelque chose, ni envers ni contre lui, laissant ailleurs son pathos pour peindre, en logique, « non plus la chose, mais l’effet qu’elle produit ». C’est ainsi qu’il pourra en assumer les conséquences.

Au moment de conclure, il s’aperçoit qu’il lui est nécessaire de consentir à être poème à nouveau. Laissant l’initiative aux mots, glissant de la tonalité à la modulation[3] pour ne plus être le poème de l’Autre, mais celui qui s’écrit hors. Aussi, il se tient à l’impossible, seule rampe de sa boussole. Écrire de son écriture, pas de sa plus belle, en modulant sa voix qui équilibre son poème en bosses et en creux. Épouser sa courbe. Le pathétique-fou-le-camp hors champ du poème qui s’invente.

[1] Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre xxiv, « L’insu que sait de l’une-bévue s’aile à mourre », leçon du 19 avril 1977, inédit.

[2] Godard J.-L., Entretiens avec Isabelle Huppert, 3 février 1981, sur RTS, disponible sur internet ici>>.

[3] Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre xxiv, « L’insu… », op. cit.