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Le corps, pas sans la psychanalyse…

Le corps, pas sans la psychanalyse…

Avoir un assistant ? Parfait : quelqu’un va m’aider à réaliser certaines tâches …. Pas tout à fait ! De nos jours un assistant n’est plus à tout coup une personne, mais souvent un logiciel. Il s’agit des « assistants vocaux », ces boîtes pleines de technologie, auxquelles il faut parler pour les faire fonctionner. Leur nom anglais n’est pas banal : « smartspeakers », que nous pouvons traduire littéralement par : parleurs intelligents. Si nous ne parlons plus d’intelligence uniquement pour les êtres humains, il reste évident que la parole est le propre du sujet. Quel est donc ce « parleur » ? Qui me parle ? À qui je parle ? par Marc Rumen-Doucoure

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Psynéma…

Psynéma…

C’est sur le statut de la contingence au sens lacanien du terme que s’est noué le débat ; l’utopie d’un discours sensé dominer le monde, sans reste, ni perte, et qui serait accointé à des algorithmes  « vivants », sorte de « nouvelle alliance » monstrueuse du corps et de la parole, est montrée d’une façon saisissante par Spielberg. Par Karim Bordeau

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Le corps, pas sans la psychanalyse…

Le corps, pas sans la psychanalyse…

Dans la suite de nos réflexions, à propos du corps, sur notre rapport actuel au monstrueux et aux utopies, nous avons entamé un travail sur une mise en tension entre les fictions modernes et les sujets pris dans le monde d’aujourd’hui où la réalité est de plus en plus façonnée par l’accélération vertigineuse des productions d’une science mise au service des marchés. Par Geneviève Mordant

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Freud, Lacan, Hitchcock sortant de la caverne platonicienne…

Freud, Lacan, Hitchcock sortant de la caverne platonicienne…

Le texte qui suit noue les principales références textuelles et psychanalytique travaillées à l’occasion de l’étude de L’ombre d’un doute d’Alfred Hitchcock, sorti en 1943 ; film extraordinaire articulant de façon subtile la triade du doute, de l’ombre et de l’objet. L’allégorie de la caverne de Platon(1), peuplée de ses étranges ombres, est à cet égard un texte fondamental interrogeant la fonction de l’image dans le discours. par Karim Bordeau

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Psynéma dans l’après-coup…

Psynéma dans l’après-coup…

On connaît l’attention extrême d’Alfred Hitchcock pour les cadrages et les plans, dont les story-boards sont d’une minutie sans pareille. Cependant, les dialogues aussi ont une importance capitale et dans L’ombre d’un doute (1943), son premier film véritablement américain, ils viennent complexifier voire subvertir le poids des images. Dans ce film, les deux personnages principaux, pourtant présentés d’une manière similaire dans beaucoup de scènes, s’opposent profondément quant à leur éthique d’appréhender le monde, que leur dire révèle sans… l’ombre d’un doute ! Par Maria Luisa Alkorta et Elisabetta Milan-Fournier

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N’oublions pas ceux qui oublient

N’oublions pas ceux qui oublient

Quand les souvenirs de la vie, les gestes du quotidien, la reconnaissance des objets, mais aussi la mémoire des mots, s’appauvrissent, les sujets atteints de la maladie d’Alzheimer s’expriment souvent d’une façon répétitive et/ou incohérente(1)… Par Maro Rumen-Doucoure

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   Collectif « Lectures Freudiennes »

   Collectif « Lectures Freudiennes »

Lors de notre rencontre du 8 novembre nous avons abordé la partie du texte dans laquelle Freud se pose la question d’autres destinées de la motion de désir qui représente la revendication pulsionnelle inconsciente qui s’est formée dans le préconscient comme désir du rêve, un fantasme qui comble le désir.. Par Susanne Hommel

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